Certaines nanoparticules pourraient stimuler les cellules immunitaires du patient.
L’Institut de cancérologie, l’INSERM et le CNRS de Strasbourg travaillent dessus
depuis 4 ans. Les essais sont faits sur des souris. Certaines nanoparticules utilisées
pour délivrer des médicaments en chimiothérapie seraient efficaces même sans
médicaments.
C’est en cherchant à comprendre le fonctionnement des nanoparticules que les
chercheurs ont pu montrer sur des cellules cancéreuses et saines que la
nanoparticule PLGA utilisée en immunothérapie améliorait la réponse immunitaire
des cellules saines de 25% contre les cellules tumorales.
Avec l’immunothérapie il y a des effets secondaires, mais avec les bonnes
nanoparticules, les doses d’immunothérapie seraient diminuées avec une toxicité
réduite.
A ce jour les essais se poursuivent sur des chiens et des primates avant de les tester
sur des patients donc attendre la fin de ces essais (quelques années).
France 3 grand Est le 26/08/2025,